Ma collection de San Antonio…
Ma collection de San Antonio…

173 – La vérité en salade

par |Publié

Le maquillage de la mémère se craquelle comme une terre trop cuite. Elle a trois tours de perlouzes sur le goitre, deux suspensions avec éclairage indirect aux étiquettes et une dizaine de bagues qui la font scintiller comme l'autoroute de l'Ouest au soir d'un lundi de Pâques.
Figurez-vous que ce monticule aurifié et horrifiant s'envoie un jules de vingt... carats ! Seulement, ce petit téméraire vient de se faire allonger..., du moins tout le donne à penser... " Fouette dents de scie ", comme dit Bérurier, cet angliciste distingué !

Parution :
Maison d’édition : Fleuve Noir
Éditeurs :
"Fleuve Noir"

Artistes de couverture :
Gourdon

Genres :
Policier

Étiquettes :
Chibane a, Chibane a en bon état, J'ai en triple

Print Friendly, PDF & Email

Vous pourrez aussi être intéressé par

Publié

577 – Faut-être logique

Vous croyez aux fantômes, vous? Moi, non plus ! Seulement Béru y croit, lui. Et quand le Gros doute de ses sens, il fait appel à mon bon sens… Faut être logique !
On m’a toujours appris à l’école que la vérité sortait du puits. Eh bien ! moi, j’y suis descendu, dans le puits. Et, en effet, j’ai trouvé la vérité… Elle avait une drôle de bouille !

Publié

358 – Le coup du père François

Connaissez-vous l’Alabanie ? C’est un coquet pays d’Europe du Sud qui a pour principales ressources l’exploitation des cactus et l’aide de la Chine populaire. Figurez-vous qu’il se passe des choses bizarroïdes à l’ambassade alabanienne de Paris… Mais le gros Bérurier et votre San-Antonio préféré vont sérieusement s’occuper du problème, croyez-moi ! Malheureusement, le révérend Pinaud manque à l’appel et savez-vous pourquoi ? Parce que les Alabaniens lui ont fait la plus terrible, la plus perverse, la plus française des farces… « Le Coup du père François »

Publié

11 – Laissez tomber la fille

Avez-vous vu un morse jouer du saxophone ? Non ? Moi non plus, à vrai dire, mais je ne désespère pas. En revanche, je vous jure, mes amis, que j’ai déjà entendu un saxophone jouer du morse : dans un cabaret ! Au début, je n’y prêtais pas attention, vu que tout mon intérêt était porté sur la ravissante créature assise à mon côté. Moi, vous me connaissez… Très enclin à la bagatelle, mais jamais dépourvu du sens du devoir. Si vous pouviez savoir ce qu’il racontait, ce saxo, sous ses airs langoureux… Vous m’excuseriez d’avoir laissé tomber la fille ! Mais vous n’allez pas tarder à le savoir, fidèles comme je vous connais.